lundi 30 avril 2012

PARIS BY NIGHT (No1)

              
               La Seconde Guerre mondiale et l'occupation allemande n'apportent pas beaucoup de changement aux affaires des truands du quartier. Les cercles privés, les tripots clandestins, les cabarets, les dancings, les boîtes de nuit et les bordels continuent à recevoir de la clientèle. Les membres de la Gestapo aiment se retrouver place Pigalle, au Dante et au Chapiteau, et rue de Pigalle, au 
Chantilly et à L'Heure Bleue



















                  MONTMARTRE-PIGALLE






Le quartier Pigalle est le plus connu pour ses cabarets, "bordels" et bars ouverts tard dans la nuit depuis la fin du XIXème siècle. La Seconde Guerre mondiale et l'Occupation ne changent pas les habitudes de la clientèle. Fréquenté par des réseaux divers (truands, brigands, mais aussi population des autres quartiers de Paris qui aime la vie nocturne), Pigalle ne souffre pas de délaissement de la clientèle. Les Allemands aiment, eux aussi, Pigalle et ses animations nocturnes...




Les grands cabarets verront une clientèle d'officiers et les soldats fréquenteront les bars.








Le temps d'une soirée, on "cohabite", on veut oublier la guerre, ses malheurs et ses restrictions, alors on vient au cabaret pour se distraire. Les cabarets sont nombreux, et il y en a dans tous les quartiers de Paris, quant à leur programmation, il y a en pour tous les goûts. Mais en plus d'un lieu de distraction, le cabaret est aussi un lieu de marché noir. On peut y mener ses "affaires" en toute discrétion...


 Les cafés populaires ne perdent pas leur fréquentation  


(La vie culturelle sous l'occupation, anne-gaelle Dathée)






                                       LE MOULIN ROUGE

























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                                                    SHEHERAZADE











TABARIN
























Ausweis trouvé dans la plaquette de TABARIN





Sur les bordels, je vous donne un lien, le 


sujet étant vaste...

Voir aussi le sujet"Merkblatt" ou vous 

trouverez la feuille de route du soldat sur

les bordels et les hospices.

http://www.cairn.info/revue-travail-genre-et-societes-2003-2-page-69.htm




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